L’Ancien Testament, les Psaumes, l’Evangile, les actes des Apôtres, toutes les guérisons, et encore L’Espérance, la Foi, La Charité qui animent et réaniment les assemblées de Chrétiens inspirées par l’Esprit Saint, témoignent que Jésus est le Fils de Dieu.

À ce titre (que nous ne savons pas bien reconnaître dans son sens parfait) il est Donateur - Distributeur - Orateur - Auditeur - Médiateur - Consolateur - Adorateur, sans aucune défaillance, à propos de tous les bienfaits de la vie que nous avons reçu humainement.

C’est Lui que nous reconnaissons souvent tardivement comme source des dons (transmis par d’autres faisant partie de notre histoire personnelle) et qui proviennent de sa Bienveillance - Divine providence - indépassable.

Jésus-Christ peut dire en vérité « j’ai tout donné à l’humanité par amour de Dieu ».

Même tous nos états d’âme, Jésus les a parcourus, du début à la fin.

De la naissance annoncée à la renaissance bafouée, de la vie ordinaire à celle de l’homme hors du commun, du premier péril face aux assassins d’enfants à la mise à mort d’un innocent par faux témoignage, Jésus a connu toutes les turpitudes de la vie humaine pour en demeurer vainqueur.

Il nous ramène ainsi à la Vie Éternelle : la Sienne, celle qui demeure pour toujours « consacrée à la Vérité et par la Vérité, dans l’Esprit Saint ».

C’est dans l’Amour Eucharistique qu’il nous Christianise, (co-relation Théologique et Ecclesiologique) en nous conduisant peu à peu, pas pas, même par des chemins de Vie chaotiques et pas très catholiques, parce qu’il donne « royalement sa grâce surabondante » à tous ceux qui se tourne vers Lui en implorant sa Divine Miséricorde.

Merci à Ste Faustine qui me permet de témoigner en regardant cette icône où malgré l’obscurité de toute nature, de la nuit sans lune ou sans sommeil, à l’adversité la plus obscure pour notre cœur et sa façon d’aimer, Jésus nous assurre de Sa généreuse miséricorde, de sa bienveillance, car c’est Lui qui nous Sauve de tous nos égarements.