En réponse à l’article :
ab. Tel est mon bien-aimé ; tel est mon aimé, filles de Jérusalem.
Tel est mon bien-aimé ; tel est mon aimé, filles de Jérusalem. Vivre à toi seul, être une graine en votre cœur/ Toute entière une offrande à la vie/ S’enfoncer et traverser l’obscure épaisseur/ Et si dans la nuit le silence n’est plus qu’un cri/ Tendre les bras pour mieux se sentir (…)