En réponse à l’article :
s) Ô quand donc pourrais-je contempler la beauté
Ô quand donc pourrais-je contempler la beauté/ De Celui qui m’insuffle la vie ?/ Mon cœur latent ne bat que pour Lui/ Il bat d’un désir que je ne peux exprimer. / C’est un gémissement, comme un cri intérieur/ Seigneur, ouvre mes lèvres ! Pour toi / Jaillira ce premier mot : « Abba ! » / Père (…)