En réponse à l’article :
r) C’est l’automne
C’est l’automne, / Les mots aussi se décomposent !/ Puissent-ils secrètement nourrir l’humus de notre terre…/ Ô vaste solitude où s’est noyé le cœur/ Dilaté, liquéfié de perles de langueur/ Il soupire, vibrant d’une mesure hors du temps/ À l’aube de son éternité, son amant. / Touché, (…)