En réponse au message :
Samedi de la 1re semaine de l’Avent
Le Bon Berger n’a pas de raison d’être sans ses Brebis.
Nous oublions facilement que Jesus est plus attaché à notre désir de Bonheur que nous même.
La spectacle de la transhumance des moutons a disparu des sociétés modernisées où le vivre ensemble se rétréci inexorablement au comportement moutonnier.
Le Bon Pasteur nous invite à partager Sa Béatitude, Sa Joie, Sa Grâce, Sa Vie, Son Esprit.
Il guérit les cœurs brisés et soigne leurs blessures. Il compte le nombre des étoiles, il donne à chacune un nom.
Il est grand, il est fort, notre Maître : nul n’a mesuré son intelligence. Le Seigneur élève les humbles et rabaisse jusqu’à terre les impies.
La derniere observation d’Isaie devrait nous alerter sur la tentation de la Brebis perdue.
L’impiété, la vie sans reconnaissance de Celui qui donne Sa vie pour ses Brebis est sans remède
À contrario le Disciple de Jésus, envoyé vers Sa Brebis perdue a déjà trouvé le Bonheur du Ciel sur la terre.
l’humilité de Demeurer dans l’Esprit de Jesusnous recentre sur l’essentiel au lieu de nous disperser vers des vanités périssables.
Oui la Sagesse de Jésus est indépassable et nous rend bienheureux…si nous la préférons vraiment.