En réponse au message :
Lundi de la 2e semaine de l’Avent
Une vie privée de mouvement, portée sur un brancard trouve devant Jésus une libération et une exultation de Joie.
Mettre aux brancards c’est aussi une expression pour dire que l’on imposer une tâche définie sans laisser un champ d’action ou d’initiative.
Trop de rigueur ou d’exigence sans état d’âme nous réduisent à l’état de gisant épuisé ou de malade bloqué par la peur.
Jésus ne se laisse pas arrêter par nos préjugés, nos peurs, nos maladies, nos craintes d’être inacceptable : il vient libérer nos vies en totalité.
Il nous offre Son Amour Inconditionnel pour nous relever et restaurer notre capacité d’aimer joyeusement sans se lasser.
Ne restons pas à l’écart de la joie de cette journée où la guérison du paralytique à fait rententir « Gloire à Dieu »…jusqu’à nous par cet évangile.
Une autre attitude pourrait être le symptôme de l’influence néfaste de ceux qui prennent tristement ombrage de l’enseignement de Jésus.