En réponse au message :
Mercredi de la 22e semaine, année paire
De quelle fièvre sommes nous oppressé ? Fièvre de l’or ? Fièvre du samedi soir ? Fièvre de cheval ? Fièvre d’inquiétude ? Fièvre d’anxiété ? Fièvre d’impatience ? Fièvre amoureuse ? Fièvre de l’Amour Divin pour tous ?
Quelque soit la nature de notre fébrilité, le degré de réaction à la maladie, d’exaltation pour une cause ou de passion pour un but notre implication ne sera jamais hors du champ d’intérêt de Jésus pour le peuple de Dieu.
"On demanda à Jésus de faire quelque chose pour elle. Il se pencha sur elle, menaça la fièvre, et la fièvre la quitta. À l’instant même, la femme se leva, et elle les servait".
Quand Jésus se penche sur nous c’est une libération, pas une oppression.
La menace ne concerne que la Fièvre qui « occupe - préoccupe » notre Humanité, et l’empêche de se tenir « debout, dans un service mutuel ».
Quand Jesus fut élevé sur La Croix de Sa Passion pour nous Sauver, de quelle ardeur était il consumé ? … mystère qui nous dépasse et indique que dans nos faiblesses, nous pouvons être rassuré aucune fièvre maligne ne peut empêcher l’avènement du Règne de Dieu.