En réponse à l’article :
ad. Je suis à mon bien-aimé, mon bien-aimé est à moi, lui qui mène paître ses brebis parmi les lis.
Je suis à mon bien-aimé, mon bien-aimé est à moi, lui qui mène paître ses brebis parmi les lis. Voici l’Agneau de Dieu/ Il est la vie venue répandre sa splendeur/ Pour glorifier le Père, il donne sa clarté/ Et du néant frémit une brise intérieure/ C’est d’une brise intérieure, (…)