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v. Je suis entré dans mon jardin, ma sœur fiancée : j’ai recueilli ma myrrhe, avec mes aromates, j’ai mangé mon pain et mon miel, j’ai bu mon vin et mon lait.
Mais au ravissement de la foi seulement, voici le glorifié en son dépouillement 27 Ô vaste solitude où s’est noyé le cœur/ Dilaté, liquéfié de perles de langueur/ Il soupire, vibrant d’une mesure hors du temps/ À l’aube de son éternité, son amant. / Touché, transpercé dans (…)