En réponse au message :
Mercredi de la 3e semaine de Carême
Quand le ciel et la terre disparaissent, c’est que « notre monde » s’ouvre enfin à l’essentiel : L’Amour de Jésus pour tous, lui qui est l’Homme (le roc de fondation) à l’image de Dieu (l’horizon le plus élevé de nos vies)
Ce ne sont plus nos références humaines qui nous guident mais l’Esprit de Jésus qui est « partout » où on l’accueille, Lui qui est l’accomplissement parfait de la vie humaine selon le cœur de Dieu.
La terre et le ciel ne sont plus en opposition mais en alliance Nouvelle et Éternelle.
Alors nos cœurs peuvent être à l’unisson d’un bout à l’autre de notre humanité, par delà toute frontière, réunie en un seul peuple, par delà l’espace et le temps.
L’Esprit Saint atteste à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu, et pas « seulement » livrés aux aléas de la nature (écologie radicale pessimiste ? ) et de la société humaine (politique mondiale humaniste…et athée ?).