En réponse au message :
Mardi de la 3e semaine de Carême
Tant que notre cœur est encombré de rancœur nous ne pouvons pas être heureux.
Maintenant, dit le Seigneur, revenez à moi de tout votre cœur, car je suis tendre et miséricordieux.
Pour joindre les 2 bouts du Verbe Aimer comme Dieu aime, nous avons besoin de l’Esprit Saint qui nous rappelle l’immense miséricorde de Jésus, Agneau qui porte toutes nos fautes, et Bon Berger qui nous conduit par Son Amour vers le Règne de l’Amour Divin.
C’est du fond du cœur de Jésus que nous pouvons reconnaître l’Amour Vrai qui ne retient pas les fautes, pour des êtres incapables d’aimer parfaitement.
Les cœurs qui se durcissent « sans pitié » se rapprochent dangereusement du bourreau qui n’a plus d’état d’âme, car il agit sur « ordre supérieur de la justice contre le crime sans repentance », en exécutant l’ultime séparation de la tête et du corps.
Même si les mœurs de la justice des hommes ne sont plus aussi tranchantes que du temps des rois, l’hypocrisie n’a pas disparue entre l’autorité qui nous gouverne (politique ?) et la pratique que nous observons (ecclésiologique ?)
En son Eucharistie Jésus affermit notre confiance en Lui pour une vie donnée par Amour et pour toujours.
Gloire à toi, Seigneur, honneur, puissance et majesté !