En réponse au message :
Mercredi de la 4e semaine, année impaire
La relation de proximité avec Jésus est toujours ouverte sur un avenir (cf le bon larron) tandis que la relation de proximité avec une communauté qui se détache de lui devient mortifère …
On compare parfois la relation à une écharpe dont chacun tient une extrémité pour signifier l’interaction mutuelle qui doit s’ajuster à l’agrément de chacun.
Dans la synagogue de Nazareth Jesus n’est pas reçu (avec Joie) en prophète (messager de l’Amour Divin) mais en enfant du pays, où l’entre nous finit par rétrécir la perception des relations humaines.
Jésus nous propose une ouverture à la Vie Divine dans l’Esprit Saint (à qui irions nous, tu as les Paroles de de la vie éternelle) ce qui est de nature surprenante parce qu’Il nous ramène à vivre en enfant de Dieu, toujours et partout.
Quand les communautés de vie locales se montrent hostiles par esprit « de mondanités », et restent fermées à la liberté vis à vis du temps et de l’espace, Jésus nous donne part à la VIE en Son Esprit Saint, en nous invitant à sa suite.