En réponse au message :
Lundi de la 23e semaine, année paire
Les règles et les habitudes, les usages et les coutumes de la sociales, qui sont nécessaires pour se situer dans une communauté humaine, sont remises à leur place dans la vie du Christ qui nous offre sa Victoire sur le mal.
Jésus vient guérir non seulement l’homme malade dans son corps physique (en Jésus Ressuscité aucune maladie n’a de prise, et pourtant il fait « corps » avec une humanité contaminée par le pêché originel) mais aussi l’homme paralysé intérieurement, dans un rigorisme idéologique qui fait de la loi et du respect du repos légal un obstacle à l’amour pour celui qui a besoin d’un coup de main.
La fureur de ceux qui sont venus épier les gestes de Jésus au lieu de l’écouter est à la mesure de leur jalousie perverse qui cherche à éliminer plutôt qu’à aimer.
Il est remarquable que la Parole de Jésus suffit pour libérer la main desséchée, que l’homme paralysé présente en public dans un geste d’étendre qui rejoint la bénédiction Divine, tandis que le cœur des scrutateurs « rigoristes » ne s’est pas ouvert malgré « le regard que Jésus à mis sur eux tous ».
Allégresse pour qui s’abrite en toi, joie éternelle ! Tu les protèges, pour toi ils exultent, ceux qui aiment ton nom.
En ce temps de règles sanitaires et de distanciation sociale imposées « sans discerner les différences de vie locales » il bon de se laisser rejoindre par l’Amour de celui qui ne laisse personne en dehors de Sa vie.