En réponse au message :
16e dimanche du temps ordinaire, année A
La grâce de l’Esprit Saint est bien meilleure (Divine Miséricorde) que le discernement humain, pressé d’en finir avec ce qui lui rappelle son imperfection.
Quand nous regardons le bon grain et l’ivraie, nous en restons à nos vies « humaines » : nourriture ou culture orientée vers une humanité fermée sur elle même, centrée sur ses besoins de nourriture, chacun chez soi et désirant éviter « cette croissance de la vie ensemble qui sème la zizanie »
Jésus nous propose un regard Divin sur tout, laissant aux anges la mission de faire la part du feu ( destructeur ) la part de Dieu ( moissonneur ).
En laissant à la croissance dans l’Esprit Saint le temps qu’il faut pour nous christianiser [ nous imprégner, et nous laissez guider] Jésus intercède pour nous, dont la condition humaine est plus proche de l’ivraie ( rejet plutôt stérile ) que de l’amour Vrai ( le blé si généreux) .