En réponse à l’article :
i) Mon âme est à jamais meurtrie, de ce cœur que tu as ravi,
200 ; 240 ; i) Mon âme est à jamais meurtrie, de ce cœur que tu as ravi, Mon âme est à jamais meurtrie/ De ce cœur que tu as ravi/ Plus rien ne me tient désormais/ Ni cavernes ni roseraie…/ Par la nuit dévêtue d’étoiles/ Et d’une splendeur sans égale/ J’irai sur les places, dans les rues/ (…)